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« Amables habitants del ditxós Vallespir »
Origine des Prèdiques de la fête de l’Ours d’Arles sur Tech
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La fête de l’Ours à Céret
Article de presse
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Spectacle vivant : la cobla roussillonnaise
J’ai pu, dans un travail partagé avec le musicien Pierre Jorda, remonter un ancien orchestre type Cobla Roussillonnaise, qui se produisit pour plusieurs concerts en 2021, en jouant des partitions du début du XXIe siècle avec les instruments de l’époque, création qui a permis de redécouvrir les anciens sons aujourd’hui disparus. La plupart des partitions étaient des morceaux inédits du toulousain Déodat de Séverac, adaptés pour cobla roussillonnaise lorsqu’il vint vivre à Céret dans les années 1910. Article dins El Temps de les Arts
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Les músiques i les festes del foc
Les músiques i les festes del foc : Revista Enderrock Les músiques i les festes del foc : ENS
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Albert Manyach et la musique catalane
Albert Manyach (Ceret 1875-1962) est l’un des musiciens catalans les plus distingués de son temps. Témoin et acteur des transformations de la cobla et de la musique traditionnelle au tournant des XIXe etXXe siècles, musicien réputé, il est l’héritier de l’art des ménétriers catalans. Soucieux de rendre compte de cette évolution, Albert Manyach entreprend de 1920 à 1960 la rédaction d’un ensemble d’articles essentiels à la compréhension du paysage musical traditionnel nord-catalan : danses, fêtes, musiques, instruments et musiciens de son pays y sont abordés à la manière d’un ethnographe. En parallèle, il collecte les airs traditionnels du territoire, tout en composant un riche corpus pour les cobles…
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Les courses de taureaux en Vallespir
Le voyageur découvrant la Catalogne Nord au XIXe siècle est frappé par deux constats, récurrents dans les mœurs du pays. Plus qu’ailleurs, les Catalans aiment les fêtes, où ils peuvent danser et se masquer ; plus qu’ailleurs, ils aiment les courses de taureaux. Quand ils le peuvent, ils n’hésitent pas à mêler ces deux plaisirs. C’est ainsi que pour Carnaval, de nombreux villages[1] réalisent le Bou Vermell, satire des joutes taurines où l’animal — fabriqué à l’aide d’une armature métallique recouverte d’un grand drap rouge — va poursuivre des jeunes filles dans les rues égayées. Mais ce pseudo-taureau n’apparaît qu’aux alentours de Mardi Gras. Les courses de taureaux, elles, se produisent toute l’année. Joseph-Barthélémy Carrère,…
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La Marfa du Vallespir
La paillasse et ses taureaux de Carnaval Le voyageur découvrant la Catalogne Nord (Pyrénées-Orientales sans les Fenouillèdes) au XIXe siècle est frappé par deux constats, récurrents dans les mœurs du pays. Plus qu’ailleurs, les Catalans aiment les fêtes, où ils peuvent danser et se masquer ; plus qu’ailleurs, ils aiment les courses de taureaux. Quand ils le peuvent, ils n’hésitent pas à mêler ces deux plaisirs. C’est ainsi que pour Carnaval, de nombreux villages[1]réalisent le Bou Vermell, satire des joutes taurines où l’animal — fabriqué à l’aide d’une armature métallique recouverte d’un grand drap rouge — va poursuivre des jeunes filles dans les rues égayées. Mais ce pseudo-taureau n’apparaît qu’aux alentours de Mardi…